Bienvenue sur cet espace dedié a la plongée souterraine
Tous les thèmes peuvent être abordés.
Cependant, cet espace de liberté n'a pas vocation à défouler ceux qui
n'auraient pas d'autres exutoires pour leur agressivité.
les messages polémiques ou d'insultes seront modérés.
Merci pour votre contribution cordiale et constructive.
Auteur | Titre: Grand Souci ADD/DCI | Date |
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AnonymeS | Notre exploration en Dordogne a St Vincent sur l’Isle au Gouffre du Grand Souci c’est malheureusement soldé ce week-end par un accident de décompression et plusieurs grosses frayeurs, nous avons décidez d’en relater les faits pour poser des questions importantes sur les plongées profondes au ternaire et pour prévenir des dangers de ce gouffre noyé. Pour des raisons professionnelles et familiales nous garderons l’anonymat. Notre but étaient d’explorer en amont les galeries latérales dans la zone des –130m pressenties par Jérôme Meynier lors de sa plongée de Novembre 2003. Nous avons utilisez un Buddy Inspiration avec diluent 11/80 (11%O2, 80% He) a PpO2 de 1.3b et un VR3 a 0% de conservatisme. Le plongeur profond a la 40aine et était en bonne forme physique et reposé et bien hydraté avant sa plongée. Le 1er jour nous avons fait une dépose de bloc relais jusque –65m (temps fond 3 min) sur un temps total de plongée de 45 minutes (10min de decompression au VR3), la visibilité ne dépassant pas les 1 mètre. Le deuxième jour le plongeur fond est parti à la verticale jusque –38m puis a suivi difficilement la corde le long de la falaise. Sur la corde des anglais il a retrouvé le fil et la plaquette de départ de J.Meynier. Il a suivi son fil jusque –90m ou le fil était cassé, de la il a raccroché son fil et a tiré son dévidoir en se décalant progressivement de la paroi de la falaise, visibilité toujours < 1m. Vers –125m un début de courant latéral c’est fait sentir, mais la faible visibilité (<20cm) et la difficulté de lecture de ses instruments l’ont motivé à faire demi-tour. En remontant vers –95m la visibilité est devenue nulle, ne pouvant lire les instruments du recycleur le plongeur a décidé de flusher le système (3 inspirations et expirations par le nez) de la a suivi une avalanche de sediments et petit bloc de roche. Quelques mètres plus haut le plongeur c’est rendu compte qu’il n’avait pas effectué (pas vu) correctement le premier palier profond indiqué par le VR3, ce dernier indiquant le message USE TABLES mais continuant à calculer la décompression. La visibilité étant toujours nulle la suite des paliers fut difficiles mais respectant +/- les tables de secours faites à partir du VR3 la veille. Plusieurs problemes de fil se posèrent à –50m et plus de temps que prévus se passa à cette profondeur. Le reste de la décompression se passa normalement. A la fin des paliers a –9m en montant vers –6m le plongeur senti des fourmis dans le pied droit. Suite aux longs paliers sur la grosse corde vertical est partir de –38m, le plongeur pensa qu’il s’agissait simplement d’une inactivité musculaire et circulatoire. Le passage a –6m a l’oxygène pur permis de faire disparaître ses symptômes. Apres 3h a –6m a l’O2 le plongeur remontât doucement 1m/min, mais a –3m les fourmis réapparurent dans le pied et le mollet droit. La décision fut prise d’entamer une procédure de IWR (recompression dans l’eau) le plongeur essaya de descendre mais vers –5m il coinça une bouteille relais dans une branche d’arbre, il fallut 10 min pour la défaire. La recompression se fit au masque (AGA) sur oxygène en circuit ouvert a –12m 15 min puis –9m 30 min puis 2h a –6m. La remontée en surface se fit sans problème. La sortie sans symptômes eu lieu a 23h42. Pour des raisons de sécurité la décision fut prise de rester chez un collègue à Périgueux (10 min du Grand Souci) pour la nuit au cas ou. Vers 4 heures du matin les symptômes de fourmis et douleurs aux mollets réapparurent, nous décidâmes de refaire une IWR mais cette fois au recycleur n’ayant pas assez de circuit ouvert. Le plongeur se reimmergea a –38m a ppo2 de 1.5b, les symptômes disparurent en arrivant à cette profondeur. Le reste de la remontée se passa sans problème si ce n’est une grosse fatigue de la part du plongeur et une visi quasiment nulle le plongeur ne pouvant que faire confiance a la ppo2 pré-programmé du recycleur. Apres une bonne nuit de sommeil nous décidâmes de rentrée sur Paris ou un examen neurologique fut fait mais sans symptômes apparents si ce n’est une toute petite douleur musculaire au mollet. Nous sommes conscients d’avoir eu beaucoup de chance, nous avons pris des risques lors de notre recompression immergée mais se fut suite aux interventions sur cette liste a propos des caissons de recompression et suite au coup de téléphone passé aux hôpitaux de Bordeaux et Toulouse, ces derniers ignorant tout des recycleurs a PpO2 constantes et sur l’utilisations des ternaires … Le gouffre du Grand Souci est vraiment trop difficile dans son exploration nous laisserons ca aux autres. Toutes questions et réflexions constructives seront les bienvenues. |
2004-05-24 16:43:37 |
jean-marc | Tout d'abord merci pour ce message. Je me doute qu'il est plus difficile de relater les ennuis plutôt que les succès. Plusieurs remarques, hormis le fait que cette cavité semble effectivement très dangereuse : Le gaz employé était un Tx11/80 (presque un héliox). Comme tu ne parles pas d'autres mélanges, je suppose que toute la plongée s'est faite avec ce même diluant. 11% d'oxygène à -130m (14b) donne une Ppo2 de plus de 1,5 bar, ce qui est beaucoup trop pour cette profondeur. A chaque ajout de diluant, tu dépasses les 1,3 bar programmés le temps que le métabolisme consomme le surplus. En cas d'élévation importante de la PpO2 (descente rapide par exemple), tu ne peux même pas la diminuer par un rinçage ! Passer en semi-fermé à -95m avec ce diluant provoque des yoyos de PpO2 (et gaz inertes) qui vont considérablement augmenter au fur et à mesure de la remontée. En cas de doute sur la PpO2 (impossibilité de lire les consoles), il est possible de gérer le recycleur à l'oreille. Je me doute, que dans ces conditions, c'est plus facile à dire qu'à faire, mais le passage en semi-fermé est également très aléatoire (gros gaspillage d'oxygène et de diluant et impossibilité de lire les manos je suppose) et la panne sèche d'oxygène est nettement plus probable et dangereuse que la défaillance de l'électronique. Quant au VR3, son modèle n'est pas adapté à ces plongées hors normes. Le fait d'avoir ressenti les premiers symptôme en quittant le palier de 9m montre que c'est bien la première partie de la décompression qui n'était pas bonne. Le profil calculé par le VR3 et ses pseudo-paliers profonds ne sont pas efficaces. Ce modèle sera vraissemblablement abandonné dans la prochaine version. Et plus tu as d'hélium dans le mélange, moins la déco du VR3 est adaptée. Concernant la recompression dans l'eau; il y a des cas où c'est tout à fait envisageable. mais il y a des cas, comme celui-là, où ça semble risqué; Mieux vaut perdre du temps pour aller à l'hopital que de risquer la noyade dans un trou de chiotte. une dernière remarque (de salon, car c'est vrai que c'est toujours plus facile chez soi, qu'au bord de l'eau), je trouve que les doses d'oxygène ingurgitées commencent à être excessives. Enfin, tout s'est bien fini, c'est l'essentiel. |
2004-05-24 19:26:44 |
Dr JM | Tout d’abord je suis bien content que le collègue spéléonaute est récupéré de son ADD, mais votre CR d’expédition soulève bien des questions : 1) Pourquoi ne pas avoir appelé le propriétaire du Gouffre pour lui demander l’autorisation de plongée ? il l’aurait donné SANS problemes, il va être très fâché maintenant s’il apprend qu’il y a eu un accident, et c’est au risque qu’il ferme l’accès au gouffre … 2) Le gouffre avait été décrit auparavant par beaucoup de plongeurs (Le Guen, plongeurs anglais CDG, moi même …) comme ayant une très mauvaise visi et un plafond de dôme très instable il fallait donc s’attendre à des risques d’éboulement a la remontée ou lors d’un flush … l’utilisation d’une micro grille sur la valve de surpression aurait/pourrait être judicieuse. 3) L’utilisation du VR3 au-delà de –80m et pour sur a –100m nécessite d’être PARAMETRé a un minimum de 10% de conservatisme dixit le constructeur Kevin Gurr – Delta P Technologie. De plus l’utilisation des deep stop au lieu de gradient Factor est peut être une partie du problème, serait il possible de savoir a partir de quelle profondeur le plongeur a commencé ses palier ? et est-il resté sur son mélange fond ou a t’il utilisé des gaz relais extérieurs (off-board). 4) La plongée profonde la veille a –65m ne semble pas avoir été une bonne idée, la production de micro nuclei favorisera le risque d’ADD le lendemain. 5) Après l’IWR a l’Australienne ou a l’Hawaiienne voici l’IWR a la Parisienne (supposant que vous etes de la) là encore CHAPEAU psychologiquement c’est costaud, juste pour savoir sans vouloir critiquer le plongeur au Masque est-il redescendu seul ou accompagné ? 6) Ce qui me fait peur dans le recit c’est que les symptômes de « fourmis » disparurent à –38m ? s’il s’agit bien d’un ADD nerveux ca fait très profond pour le faire disparaître … 7) Est ce que la douleur au mollet pourrait être liée à un palmage excessif le jour de votre pointe ou la veille ? 8) derniere question : vous etes vous renseigné avant ou le jour de l’accident auprès des centres hyperbares de Bordeaux et Toulouse, car a minuit il ne fallait pas espérer une réaction ou des réponses très clair de leur part ; ))) Pour conclure toutes mes sincères félicitations pour avoir entrepris cette plongée dans ce gouffre ou "trou de chiotte" comme dirait Jean Marc ... mais bon il faut bien que quelqu'un aille voir ; ))) "Où serait le mérite, si les héros n’avaient jamais peur ?" [ Alphonse Daudet ] |
2004-05-24 22:19:30 |
Dr JM encore | Désolé j'ai posé des questions sans avoir lu le message de JMB. mais autres questions: 9) Le Vr3 etait-il relié a une 4 eme cellule O2 sur l'inspiration pour donner une déco en temps et ppo2 réelle ? cela devenant la mode en Angleterre sur les boites jaunes, je me demande simplement si cela a traversée trop attivement la manche ? A propos de la remarque de JMB sur le VR3 non adapté aux plongées profondes, je suis BIEN d'accord, mais a ma connaissance il n'y a RIEN d'adapté a ce type de plongée profonde non a saturation hélas ... nous experimentons a trop petite échelle ... |
2004-05-24 23:04:44 |
Frank | Merci de partager ces soucis, dans un domaine où le tabou est encore trop souvent de rigueur. Mais ça évolue... doucement. Apparemment, le Grand Soucy, en cumulant plusieurs paramètres aggravants (profondeur, mauvaise visibilité, gigantisque du conduit et instabilité de la voute et des parois...etc)devient très difficile d'accès pour d'éventuelles explorations futures. Actuellement, ce problème se pose pour plusieurs siphons, et si les avancées technologiques offrent un second souffle aux explos, les perspectives sont parfois limitées. Atteindrait-on les limites des possibilités humaines dans certaines explorations souterraines ? Il est bon, parfois, de se rappeler qu'on est qu'un ridicule petit humain face à la caverne. |
2004-05-25 08:29:56 |
A | Jean Marc: La ppo2 de 1.3 n'est pas trop elevée, regarde les travaux actuel de Richard Pyle et son equipe sur l'etude des recifs coraliens entre -90 et -140m ils y travaillent avec leur Cis Lunar a 1.4 1.5. De meme Kevin Gurr et Phil Short avec leur Mk15.5 lors du Guam Project travaillaient en manuel a 1.4. A propos du changement de modele de decompression du VR3 j'ai parlé ce matin avec Kevin Gurr le constructeur du VR3 et il ne prevoit pas de changement, j'aimerai donc savoir sur quoi ou qui se base ton information ??? Peut tu aussi expliquer "dose d'o2 ingurgité excessive" ??? si rincage pour le CNS et les alveoles je ne comprend pas ou est le probleme ? Jerome: 1) on a essayer de rentrer en contact avant la plongée avec Mr JC Zacharie mais nous n'avons pas reussi a le joindre, si il y a un quelconque probleme post plongee tient moi au courant je rentrerai en contact avec lui pour nous excuser. 2) promis la prochaine fois ont essayent la grille : /// 3) Le plongeur fond etant en bonne condition physique ne penssait pas avoir besoin des 10% de conservatisme, il avait fait quelques -130m en Egypte a 0% sans probleme ... oui je sais Hurgada et St Vincent c'est pas pareil ... Il est resté sur son 11/80 et a simplement augmenté manuellement sa ppo2. Je me renseigne aupres de lui pour son premier palier car je ne l'ai plus exactement en tete. 4) ok bien compris, la prochaine fois il restera hors de l'eau la veille. 5) accompagné 6) c'est la meme remarque que m'as fait ce matin un medecin hyperbare du sud de la france : (((( 7) oui, la veille le plongeur a voulu essayer de faire le tour du gouffre ou tu t'etais perdu, et apres 13 min de palmage il a du revenir sur ses pas, micro lésions musculaires ? 8) notre faute, nous les avons appelé a minuit. 9) 4eme cellule oui mais option OFF ; ) |
2004-05-25 16:52:09 |
jean-marc | Les seuls comptes rendu de Richard pyle que j'ai lu datent d'il y a environ 10 ans. Je n'ai rien trouvé de plus récent. Je viens de lui poser la question, je posterai sa réponse. Pour ce qui est d'une évolution du VR3, ce ne sont que des rumeurs et il arrive que les rumeurs soient infondées. Concernant ma remarque sur les doses d'oxygène ingurgitées : tu indiques que le plongeur a fait xx heures avec une PpO2 d'au moins 1,3b plus 3 heures d'oxy pur à 1,6b suivi d'une IWR de près de 3h à l'oxy pur entre -12 et -6m . ça fait, grosso modo 8h à 1,5b, ou 1,6b de moyenne ? plus dans la nuit re-du PpO2 de 1,5b depuis -38m jusqu'à la surface (surement encore de l'O2 pur à -6m voir plus bas). J'en connais plusieurs qui ont vu des étoiles avec moins que ça ! Le calcul de toxicité de l'oxygène ne fait pas l'unanimité mais quand même : les expériences REPEX s'appuyaient sur du concret (baisse de la capacité respiratoire) et vous avez du dépasser ses limites d'un facteur 10 ! Quant au rinçage, s'il ne fait pas de mal, on n'est sûr pour autant qu'il soit très efficace. il n'a jamais pu être quantifié. Seule une expérience sur les rats a montré que la crise hyperoxique était repoussée en pratiquant ainsi. |
2004-05-25 19:48:02 |
MJ rD | Jean Marc pour Richie Pyle cf www.marineexploration.org sisi yen a encore qui plonge au MkV Cislunar, Richie a eu un petit probleme recemment pas forcement ADD mais peut etre hypoglycemie post plongée cf http://groups.yahoo.com/group/divingaccidents Pour les anonymeS du Souci, merci encore d'avoir posté votre CR et d'accepter de repondre aux differentes questions, le sieur Andy Kay c'est chargé de la traduc sur http://www.cavedivinggroup.org.uk/cgi-bin/CDGBBS libre a vous de rentrer dans son jeu ; ))) PS pouvez vous me joindre (anonymement) hors liste sur jerome@snoopyloop.com j'ai des infos sur le Grand Souci qui pourrait vous interesser si vous n'en etes pas trop dégouté : - ) Jerome |
2004-05-25 23:33:03 |
jean-marc | Voici les réponses R. Pyle concernant ses plongées : dans un premier message, il indique qu'il utilise une PpO2 de 1,4 au fond et 1,5 en déco. Dans un deuxième message, je lui demande des précisions sur les caractéristiques de ses plongées et voici sa réponse : " Typical deep dives are 300-450 fsw deep, 3-5 hours long. On intense missions, we have done as much as 5-8 hrs/day, almost everyday, for several weeks. We have never had any experiences with any form of O2 toxicity (CNS, pulmonary, myopia, etc.) BUT! Not everyone is the same, so maybe we are just more tolerant. " C'est vrai que R. Pyle a une grande expérience des plongées profondes en recycleur et qu'il semble supporter sans problème des doses d'oxygène importantes, bien qu'il précise que tout le monde n'est par forcemment logé à la même enseigne. |
2004-05-26 11:36:59 |
philippe | il repond qu'il est resistand ou qu'il peut avoir des doutes sur l'existence du cns | 2004-05-26 13:39:56 |
Marc Vandermeulen | Tout d'abord, merci de partager vos galères! Je ferais 2 remarques à titre perso. Je pense que, que l'on plonge au recycleur ou en circuit ouvert, les vieilles recettes empiriques restent d'applications: - pas de plongées 24h avant ou après une profonde. - pas de profil trop "border line" avec ordi (qq soit le modèle). Pr ce qui est de la réimmersion: c'est un choix audacieux ms personnel. Comme tt s'est bien terminé, je ne vois rien à redire. A+! |
2004-05-27 13:42:36 |
Xavier Méniscus | Salut Pourrait on connaitre le %CNS que le VR3 indiqué suite aux plongées qui ont été faite ? Pour avoir eu un ADD lors d'une plongée profonde, alors que la veille j'avais fait une plongée de dépose de bloc, je sais que maintenant, que je ne refairais plus cette erreur Vu les symptomes que tu décris, je ma demande si c'est bien un ADD qui c'est produit. Un ADD, c'est plus une douleur vive très localisé, comme une piqure profonde, avec une éguille très fine. Heureux que tous ce soit bien passé pour tout le monde A+ Xavier |
2004-05-27 15:52:29 |
Dr JM | Non non Xa c'est un ADD neurologique "fourmis dans pied droit" perte de sensation, c'est bien cela qui est flippant dans leur récit !!!!! surtout quand ca disparait a -38m; il faut avoir un sacré mental pour gérer ca a 4h du mat en IWR ! chapeau les gars encore une fois !!! Jerome |
2004-05-27 20:25:01 |
Xavier Méniscus | OK Autant pour moi A+ Xav |
2004-05-27 21:18:26 |
marc | bonsoir c'était quoi les gaz à 38 mètres pour l'IWR? merci marc |
2004-05-27 23:30:04 |
A | Bonjour Marc A la sortie de l'eau et suite aux incertitudes sur les servives hyperbares de Toulouse et Bordeaux nous avons boosté dans la 3 lit du Buddy Inspiration un 30/70 heliox au cas ou ... qui c'est révélé fort utile par apres. Suite a l'accident, le propriétaire du gouffre vient de poser une pancarte de "Propriété Privée", les plongées reste autorisée a condition de rentrer en contact avec Mr Zacarie a St Vincent Sur L'Isle. Dr Jerome M, merci pour ton offre de donnés complementaire sur le Souci et ses gours mais nous ne sommes plus intéressé par la cavité, elle est bien trop compliqué. |
2004-06-03 12:12:35 |